
#Belgique #BEL 20 #Big Cap
Les origines de AB Inbev remontent au XIVème siècle avec la création des Brasseries de l’Artois. Cela permet au groupe de s’appuyer sur un savoir-faire unique. De plus, AB Inbev dispose d’un portefeuille de marques de premier plan, lui offrant une présence dans le monde entier, avec des noms reconnus tels que : Stella Artois, Budweiser, Corona, Leffe, etc…
Alors que l’activité du groupe avait commencé à marquer avant même le début la crise sanitaire, cette dernière n’a rien arrangé. Pourtant, le fait est que depuis cette dernière, l’activité repart à la hausse. Malgré tout, bien aue le flux de trésorerie libre demeure à un niveau tout à fait correct, il est en deçà de ce qu’il était avant crise. En outre, la marge d’exploitation du groupe ne cesse de chuter. Bien qu’en baisse lui aussi, l’endettement reste conséquent.
L’un des principaux risques pesant sur AB Inbev réside dans le cadre réglementaire lié aux boissons alcoolisées. Si celui-ci n’a pas empêché la société de prospérer, rien ne garanti qu’il ne sera pas, un jour ou l’autre, fortement alourdi (sur fond de “politique publique”) sur des marchés importants pour le groupe. En outre, il est nécessaire de surveiller l’endettement de la société. Son niveau demeure élevé dans un contexte de hausse des taux.
AB Inbev dispose de nombreux atouts à faire valoir (Histoire séculaires, portefeuille de marques, etc…). Néanmoins, le groupe doit faire face à des contraintes (réglementaires) qu’il ne maîtrise aucunement et à une situation financière qui ressort plutôt mitigée. A noter également que le dividende fait régulièrement le yo-yo… Je ne suis pas actionnaire de la société au moment de la rédaction de cette présentation.
Cette présentation n’est pas un conseil en investissement. Il est impératif d’effectuer ses propres recherches et analyses avant toute prise de décision d’investissement.